Pollution visuelle et laideur mondialisée...
....Et en plus vous voyez un reportage en chine, au japon en afrique et à pétaouchnok...Et partout, PARTOUT, l'horrible gilet jaune, le nouvel uniforme mondialisé...
JE HAIS LES GILETS JAUNES!!!
ATTENTION PIRATAGE
JE VIENS DE RECEVOIR UN APPEL AU SECOURS DE LA RESPONSABLE
D'UNE GALERIE D'ART EN GRANDE DIFFICULTE A BAMAKO...EN FAIT,
RENSEIGEMENTS PRIS, SA BOITE MAIL VIENT D'ETRE PIRATEE.
AYANT REPONDU EN CONFIANCE A SON PREMIER MAIL, IL SE PEUT QUE
LA MIENNE SOIT PIRATEE A SON TOUR. DONC SI VOUS RECEVEZ UN MAIL
DE MOI EN GRANDE DIFFICULTE A BAMAKO, POUBELLE.
DOORS
petit rappel
Neuf écrivains seront présents et dédicaceront leurs livres.
Amélie Tusseau
Bérengère Morel
Christelle Mafille
Michaël Herpin
Danielle Vardin
Olivier Roche
Joseph Hédou
Vanessa Simon
Yvan Postel
Notre jeunesse
> NÉS ENTRE LES ANNÉES: 1935 et 1965
> > NOUS sommes PLUS FORTS!!!!!!!
> Premièrement, nous avonssurvécu à l'accouchement par des mères dont la plupart fumaient ou buvaient du vin pendant qu'elles étaient enceintes.
> Elles prenaient des aspirines,
mangeaient de la vinaigrette , des desserts , et n'étaient pas testéespour le diabète ou le cholestérol.
De fait, la plupart d'entre elles sontencore là, ou mortes à plus de 85 ans. >
> Après ce traumatisme.... on s'endormait n'importe où, on nous couchait sur le ventre dans des lits à paillasse, dans des chambres peintes au plomb. Faut dire qu'il ne nous venait pas à l'idée de bouffer les écailles des vieux murs...
Nous n'avions pas de serrures aux portes. Lorsque l'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, et pas des casques de protection.
> Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans clim, sans ceintures, ni siège pour bébés, ni air -bag,
Être dans la benne arrière d'une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire.
> Nous buvions l'eau directement de la fontaine, et depuis l'eau courante, dans les maisons, les tuyaux étaient en plomb.
> > Nous mangions des gâteaux secs, du pain rassi, du vrai beurre, du saindoux, du lard. Nous buvions du chocolat avec du vrai sucre. Et nous n'étions pas obèses .
> POURQUOI ?
> Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors... >
> > Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient.
Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les buissons une paire de fois, nous avions appris à gérer les problèmes.>
Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo, X-box, iPod.. Il n'y avait pas de jeux vidéo, pas 150 canaux au câble, pas de films vidéo ou dvd, pas de son stéréo ou de cd, pas de portable, pas d'ordinateur et pas d'Internet .
NOUS AVIONS DES AMIS et nous sortions dehors pour les retrouver, pas des amis inconnus sur réseau social !
Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, on se cassait des os, des dents et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.
On nous offrait des fusils à plomb pour notre anniversaire, faisions des jeux avec des bâtons et des balles, des lance-pierres, des épées, des arcs et flèches, des fléchettes, nous jouions avec des radeaux de fortune sur les rivières, nous faisions des pistes de glissade sur les inondations des prairies gelées, nous allions à l'école en culottes courtes par tous les temps, nous sautions et plongions des souches d'arbres dans des rivières sans maître-nageur syndiqué, nous bricolions avec toutes sortes d'outils réputés dangereux des ateliers de nos parents, nous jouions avec des pétards à mèches, nous fumions des P4 à l'unité, nous sucions toute la journée des boites de coco (pas de coca) ; aux heures les plus chaudes, les lessiveuses étaient nos plus belles piscines, nous descendions à toutes allures les côtes en herbes des vergers sur des plaques de linoléum ou balatum en guise de luge. Les soirées exceptionnelles de grandes chutes de neige, nous avions la permission de jouer à la lueur des réverbères dans les rues enneigées, glissades et traineaux en bois fabriqués le jour même, avec des vieilles planchettes et des cerclages métalliques d'emballages pour patins, occupant notre temps et gelant nos mains violettes sans gants ; et même si on nous disait que tout pouvait arriver, nous sommes pour la plupart toujours là.
Nous roulions sur nos vélos sans frein ou marchions jusqu'à la maison du copain de classe ou de quartier et frappions à sa porte ; on entrait simplement, et nous étions très bien accueillis.
L'idée que nos parents auraient un jour à nous faire sortir de prison était inconnue, ils étaient AVEC la loi. L'idée que nos parents puissent être contre l'avis de l'instituteur, du professeur, du policier, du gendarme, du Maire, du curé, qu'ils puissent en venir aux mains ou aux insultes était inimaginable.
En colo ou au patronage, nous avons appris à vivre ensemble en nous respectant, même si les bagarres étaient saignantes, elles ne finissaient pas au couteau ou à la kalachnikov.
Ces générations ont produit quelques-uns des meilleurs preneurs de risques, têtes pensantes et inventeurs de tous les temps, chefs d'entreprises, souvent autodidactes au bon sens débordant.
Ces 50 années ont été une explosion d'innovations et nouvelles idées.
Nous avions la liberté et la peur de l'échec, le succès et les responsabilités qui vont avec, mais nous avons appris comment gérer tout cela.
Si vous êtes un de ceux-là, si vous vous reconnaissez...FÉLICITATIONS! >
Peut-être que vous voulez partager ceci avec d'autres qui ont eu la chance de grandir avant que les avocats ne viennent tout règlementer, avant que les " médias " ne prennent tant de plaisir à faire trembler les chaumières de leurs scoops dramatiques, sans certitudes...juste pour le fun et le fric.
Comme la vie était belle, limpide , parfois rude mais combien nous étions heureux !
Vous pouvez envoyer ce message à vos enfants, ils pourront réaliser la simplicité et la chance de leurs parents.
Allégorie
La république donnant la fessée cul nu à l'extrême droite, sous le regard du professeur Mordevol.
Printemps des poètes
Concours de poésie, dictée, salon du livre...çà bouge à Grandcamp! Cliquez sur le lien.
Le 17 Mars salon du livre à la galerie du Belvédère, 14 rue Aristide Briand.
Excusez moi d'insister.....
Et donc le samedi soir, concert à la Frégate,( pour ceux qui ne connaissent pas La Frégate c'est le bar musical, incontournable, de la région, communication directe avec la galerie: Le passage secret sera ouvert pour l'occasion.
BLUES POWER est né en 1980, avec comme leader le chanteur guitariste Denis COOK. Ils ont arpentés depuis, d'innombrables scènes d'ici et d'ailleurs, cafés concerts et diverses premières parties auprès de, Calvin RUSSEL, Paul PERSONNE, GIROUX MAJHUN, Eliot MURPHY, Bernard ALLISON, Little BOB, Patrick VERBECKE, Larry GARNER, Melvin TAYLOR, Joe BEARD, John ALLISON, Robin TROWER ...! Un Blues Rock au style percutant, puissant et mélodieux agrémenté par la voix chaude de Denis COOK. Le répertoire mêle avec brio compositions et reprises des plus grands revisitées façon BLUES POWER.........THE BLUES IS HERE TO STAY! SO LONG...
Du froid, du beau temps, de la pluie, du vent et autres incommodités
Vous avez remarqué, il fait froid très froit, beaucoup trop froid...Un froid sibérien (allez voir en Sibérie, vous reviendrez vite) et donc: vigilance jaune, vigilance orange, vigilance rouge, çà me fait rigoler, moi en ce moment je suis plutôt en vigilance bleu Marine...Et j'attends impatiemment la neige, ici on n'a eu que des miettes...
Donc il fait trop froid...Il y a un mois il faisait trop chaud...Quand il fait beau, on risque la sécheresse ou la canicule...Il pleut! Quelle catastrophe!...Il vente, est ce que çà va bientôt s'arrêter ce temps pourri...Bref vous l'aurez compris, que ce soit à la radio ou dans la lucarne à blaireau: les français n'en peuvent plus, tout va de travers..Etc..etc...
Pour moi, c'est l'hiver, c'est tout et c'est normal.
Ce matin reportage en direct, une femme au bord de la crise de nerf: " je n'en peux plus: on a froid, vous vous rendez compte, il fait 13 degrés dans la douche...Interpellé je suis allé chercher un thermomètre (j'en ai plusieurs) et l'ai placé dans ma propre douche , devinez...13 degrès...Et j'imagine que c'est ainsi tous les hiver depuis 30ans (je n'avais jamais pris la température dans la douche avant), je dis depuis 30 ans car avant le problème ne se posait pas, je n'avais pas de douche.
Donc je me douche à 13 degrès sans me rendre compte que c'est beaucoup trop froid et que je devrais attraper une pneumonie...
Le reste est à l'avenant, 14 degrès dans la salle, 16 dans une chambre, un peu plus dans la cuisine, c'est vra,i grâce à la cuisinière à bois sur laquelle mijote le potage ou la poule au pot, sans oublier la teurgoule dans le four. Mais c'est vrai qu'à la campagne on bouge.
Je suis allé hier chez mon voisin cultivateur, il va bien, il est toujours dehors, quand il rentre dans sa maison à 12 degrès, il a chaud....
Bon j'arrête mais tout ce battage me fait rigoler!
...Des kékés, beaufs,et autres dédés...
Aout 2011, Grandcamp les Bains, midi, un 4x4 est garé en vrac devant la boucherie...Le moteur tourne...Le conducteur, chemise hawaïanne ouverte sur une chaîne en or (plaqué?) gourmette au poignet, Rayban à la Sarko sur le nez, vitre ouverte, tapote nerveusement la portière de sa grosse bagouze....Pour accentuer la caricature, il klaxonne...klaxonne...klaxonne!!! encore et encore...Il a envoyé madame acheter une côte de boeuf et madame tarde à sortir de la boucherie."Mais qu'estce qu'elle branle cette pouffe?" (Là en fait j'imagine, mais je pense ne pas être très loin de la réalité...)
Madame arrive, s'excuse, se fait engueuler....Démarrage sur les chapeux des roues!
...Hé les gars...Y a encore du boulot pour sortir de la préhistoire!